De retour du ciné — It’s a free world, le dernier Ken Loach, poignant, mais pas spécialement le message optimiste rêvé pour entamer l’année du bon pied —, cette bonne nouvelle glanée chez Greenpeace: le Japon renonce aux cinquante baleines à bosse qu’il avait prévu de harponner pour raisons «scientifiques» cette saison. Les mille autres sur sa liste, dont on imagine qu’elles n’ont pas de bosse, seront tout de même expédiées ad patres, c’est-à-dire dans des frigos, car le Japonais moyen ne mange pas suffisamment de steak de cétacé pour que la science avance à un rythme convenable. Ressers-toi, Japonais, la grandeur de ton pays en dépend!